Annexe : Codex Vampiri

- Le secret prime sur toute règle. Tout Vampire trahissant le secret sera décrété ennemi à sa propre race, pourchassé, et tué lentement pour l’exemple.
- Chaque Clan est dirigé par un Saigneur ou une Damesang qui est le seul Maître, la seule Maîtresse de son clan. Celui-ci/celle-ci est responsable auprès des autres Saigneurs et Damesang des actes de sa progéniture.
- Tout vampire doit féauté à son ou sa Sire, et donc, indirectement, à son Saigneur ou sa Damesang qui a droit de vie ou de mort sur sa progéniture.
- Durant les cent premières années de sa vie, le Sire a tout pouvoir sur son Infant, suite à quoi l’Infant a le droit d’être considéré comme un vampire à part entière.
- Il est tacitement admis qu’on ne tue pas son Sire. Même si certaines exceptions ont eu lieu, c’est dangereux, surtout pendant les cent premières années de vie.
- Un Infant n’a pas le droit de créer un autre vampire pendant ces 100 premières années de vie.
- La vie de l’Infant est indépendante de celle de son Sire : tuer le Sire ne tue pas l’Infant.
- Créer des Calice (humain servant de réserve de nourriture privée) ou des Renfield (esclaves humains drogués au sang de vampire) est autorisé mais pas plus de deux par vampire. De plus ils ne peuvent pas être transformés en vampire
- Un vampire ne pet créer la vie comme un humain, étant stérile.
- Créer un vampire enfant est une obscénité passible de mort
- Les parias rejetés de tous les clans ne sont pas les bienvenus sur le territoire de ceux-ci, sauf s’ils ont passé un pacte à ce sujet.
- La punition pour enfreindre les règles vampiriques et l’arrachage de croc, interdisant donc au vampire de se nourrir pour des semaines, les crocs mettant entre huit et dix semaines à repousser. C’est une double punition car la douleur de les faire repousser est particulièrement violente. De plus les crocs ne repoussent jamais aussi longs qu’avant, marquant visuellement le recours à cette punition sur le vampire éternellement.
C’est la seule alternative à l’abdication, pour les Saigneurs et Damesangs, ou à la mort. Mais beaucoup préfèrent la mort que l'infâmie de cette situation temporaire de sans-croc...